Se développe sous l’impulsion du ministre de l’Education Nationale, Blanquer, une prégnance des neurosciences en pédagogie, avec la promotion de la neuropédagogie. Pour résumer l’argumentaire : la force des neurosciences serait que la neuro-imagerie permettrait de « voir » l’activation de zones cérébrales, notamment lors d’activités scolaires des enfants et donc de définir « scientifiquement » par exemple les meilleures pédagogies.
A lire sur ce thème l’article rédigé par Hervé Guyon, du syndicat Sud Education 29, enseignant à l’UBO.