La violence policière, comme réponse gouvernementale !

La violence policière, comme réponse gouvernementale !

Fermetures administratives d’établissements scolaires, interventions et violences policières sur les campus universitaires, menaces et sanctions disciplinaires envers des lycéen-nes, interventions policières au sein d’A.G.étudiante pour en éliminer des syndicalistes, etc.
Nous avions déjà condamné publiquement ces pratiques ; Lors des manifestations du 24 mars, un pas de plus a été franchi : gaz lacrymogènes, matraques, arrestations, …
dans plusieurs villes, la police a provoqué, les CRS ont chargé les manifestants et manifestantes.
Cela fait écho aux condamnations de syndicalistes, à l’intrusion de forces de police, l’arme au poing, sur des lieux de travail… Nous le disions dès novembre dernier : l’état d’urgence sert à réprimer les mouvements sociaux. Cela ne nous fera pas taire. Cette violence caractérise l’absence de réponse démocratique à nos revendications, le mépris de nos légitimes aspirations.

syndicaliste interpellé et tabassé à rennes